•  

    Traduction

    En voilà une, en voilà deux, en voilà trois,
    En voilà quatre, en voilà cinq,
    En voilà six, en voilà sept,
    Dix !

    Me saisissant d'un bras droit je tire, tire
    Le plantant dans la terre au sommet de mes pots
    Mettant ensemble les indexs et les majeurs
    Un merveilleux arrangement floral.

    Dans les plates-bandes de mon jardin,
    Les mains poussent si joliment
    Mais elles sont toutes différentes, j'ai raison c'est sûr

    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Le Jardin de la peur
    Alors ne fuis pas !

    Je ne peux rien dire sur mon jardin secret
    Je ne peux parler à personne de mon jardin secret

    Les mains qui ont cinq doigts sont les meilleures
    Bien que quelques fois, j'en trouve qui n'en ont que quatre
    Tu as des yeux alors tu peux constater que ce que je te dis est vrai

    Des mensonges, il n'y a que des mensonges ici
    Des mensonges, il n'y a que des mensonges ici
    Des mensonges, il n'y a que des mensonges ici
    Des mensonges, il n'y a que des mensonges ici
    Peut-être.


    votre commentaire
  •  

    Traduction (de moi)

    La lune qui flotte lentement
    Les étoiles qui subsistent faiblement
    Tend tes bras et c'est à partir d'ici
    Que tu fais un voeux.
    Peut importe à quel point c'est loin
    Cela n'a probablement pas de fin.
    Souris à ces mots,
    Ainsi tu ne perdras pas.

    Confier un corps au courant est simple
    Mais même de cette façon
    Les choses à défier sont tout aussi importante
    Ne l'oublie pas.

    Enlace-le maintenant,
    Une seule fois de plus
    Prend un voeux dans ton coeur et place-le là
    Quand tu as mal,
    Succombe simplement à une douce lumière,
    Des contes de fées entrelacés
    Tu es incapable d'être aussi dramatique mais
    Le jour où tu as pleuré sera blâmé à la fin
    Et terminera avec ton sourire.

    Jusqu'à présent je ne pouvais rien faire moi-même mais
    Je me demandais si je pourrais transmettre
    Même un tout petit peu de chaleur
    Après cela je me demandais
    Si je suis capable de changer quelque chose.
    Les scrupules et la douleur semblent m'écraser.
    Un son calme qui coule
    Les colore en bleu pâle,
    Suscite la force débordante
    D'où tu te tiens.

    Même si tu le perds de vue en le pourchassant
    Laisse les petites mains organiser
    Ce qui compte pour toi.
    Puisque ça devrait toujours être tout près
    N'abandonne pas.
    Si tu fermes les yeux,
    Tu seras capable de l'entendre.
    Commence à être fidèle aux cris de ton coeur
    Si tu fais ça, tu fonceras vers l'inévitable.
    Le chemin s'ouvrira à toi

    Enlace-le maintenant,
    Une seule fois de plus
    Prend un voeux dans ton coeur et place-le là
    Quand tu a mal,
    Succombe simplement à une douce lumière,
    Des contes de fées entrelacés
    Tu es incapable d'être aussi dramatique mais
    Le jour où tu as pleuré sera blâmé à la fin
    Et terminera avec ton sourire.

    Maitenant aussi
    Pense tout simplement que tes pensées vont atteindre ...
    Puisque je suis là, essuis tes larmes
    Je ne fuirai plus.


    votre commentaire
  •  

    Traduction

    Les lumières de la ville brillent
    Avec la froideur de l'éther anesthésique
    Impossible de dormir jusqu'à deux heures du matin
    Tout a changé et est devenu incontrôlable

    Le briquet n'a déjà plus d'huile
    Mon ventre brûle nerveusement de l'intérieur
    Si tout n'avait été que mensonges
    Cela aurait été bien mieux et plus facile.

    J'ai fait un rêve où je t'étrangle
    En un milieu d'après-midi rempli de lumières
    Je regardais, au bord des larmes,
    Ta gorge mince tressaillir.

    Emmène-moi dans un réacteur en fusion
    Je souhaite plonger en son coeur pour y voler
    Une jolie lumière bleue enveloppe mon corps
    Emmène-moi dans un réacteur en fusion
    Si je pouvais plonger en son coeur puis pleurer
    Tous mes pêchers seraient pardonnés.

    De l'autre côté du balcon,
    J'ai entendu quelqu'un monter à l'étage
    Le ciel nuageux commence à former une ombre
    Qui se dépose sur les fenêtres et la salle.

    Le crépuscule s'étend
    Le soleil rougit tel un oeil après des pleurs
    Comme fondant lentement
    Peu à peu le monde se meurt

    J'ai fait un rêve où je t'étrangle
    Les rideaux ondulaient dans une brise de printemps
    De mes lèvres sèches et blessées
    Mes mots éclatent comme la vie d'une bulle...

    Emmène-moi dans un réacteur en fusion
    Je souhaite plonger en son coeur pour y voler
    Les souvenirs fondront et disparaîtront dans un blanc pur
    Emmène-moi dans un réacteur en fusion
    Si je pouvais plonger en son coeur puis pleurer
    Je pourrais dormir, comme avant...

    La trotteuse de l'horloge
    Et le présentateur d'une émission de télé
    Quelqu'un de présent mais d'invisible
    Leurs rires, saturent et résonnent...

    Allegro Agitate
    Les sons résonnent si fort, ne s'arrêtent pas
    Allegro Agitate
    Les sons résonnent si fort, ne s'arrêtent pas...

    J'ai rêvé que tout le monde disparaissait
    A minuit, ma chambre grandissait et
    Ce silencieux cauchemar se bloqua soudainement dans ma poitrine
    Je pouvais difficilement respirer...

    Ah !

    Emmène-moi dans un réacteur en fusion
    Si je pouvais plonger en son coeur puis pleurer
    Je pourrais disparaître sans souffrir
    Le matin, quand je serai partie,
    Sera bien plus beau qu'il ne l'est à présent
    Tous les engrenages s'emboîteront
    Ce sera sûrement un monde comme ça... 


    votre commentaire
  • Le créateur de cette chanson a précisé qu'IA est ici la fée du cerisier et reste toute sa vie à ses côtés. Le garçon est pour sa part humain, du coup IA et lui ne vivent pas de la même façon (leurs "temps" s'écoulent différemment).

    J'aime beaucoup IA, ses chansons me plaisent toujours et celle-ni n'échappe pas à cette règle. La vidéo est aussi très jolie.

     

     

    Traduction (par moi)

    La chanson des quatre saisons

    Une silhouette que j'ai vue un jour.
    Les sentiments d'un jour distant, distant.
    Le printemps se termine, l'été arrive
    Le temps ne s'arrête pas.
    Alors même que j'étais censée savoir
    Peu importe quoi, sans être effacée des souvenirs,
    A partir de ce jour reste immobile comme ça,
    Horloge à l'intérieur de moi.
    Un jour,
    Si ce rêve prend fin,
    Est-ce que tout, tout
    Aura été futile ?
    Le temps avance et ne revient pas en arrière.
    Sûrement, à jamais,
    Ce sera isolé ici n'est-ce pas ?

    Le temps de ton monde
    S'écoule rapidement pour moi.
    L'automne se termine aussi, l'hiver arrive.
    Les saisons changent.
    Alors qu'elles étaient soit-disant rattachées
    Elles disparaissent encore une à une.
    Un jour elle arrivera; Notre séparation
    Sera sous-entendue.
    Le sourire que tu as montré ce jour,
    Aujourd'hui, aujourd'hui,
    N'est nulle-part.
    Alors qu'il était naturellement heureux,
    Va-t-il s'effacer devant moi ?

    "Je ne te laisserai pas te sentir seule"
    Ce jour, juste là, tu as promis.
    Si le temps s'arrête
    Plus jamais tu ne cesseras d'aller de l'avant.
    Le monde était était indépendant du temps.
    Seule, je suis encore incapable.
    Peu importe combien de fois les saisons changent
    Je continuerai de chanter jusqu'à ma mort.

    Si je t'atteins,
    Demain, demain,
    Résonne.
    "Je serais pour toujours à tes côtés",
    Ai-je dis au vent,
    Perdue dans le vague.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique